Sack est différent. Quand il s'exprime avec ses bombes, il veut simplement raconter une histoire. Elle peut être d'ordre politique, humoristique, où simplement sur le vide où la fureur de la nature humaine. Il y a aussi le bouddhisme qui l'intéresse depuis quelques années. Ce jeune artiste, étudiant des arts plastiques, en France depuis 2008, aime dans ses graffitis, mélanger les civilisation asiatiques, et évoquer le côté mystérieux de l'Orient. Il est attentif aux détails et aux couleurs.
Dans son panthéon d'artistes préférés, figurent le génie anonyme Banksy, le peintre franco-chinois Yan Pei-Ming, le plasticien Takashi Muradami et le dessinateur de manga et réalisateur japonais Miyazaki Hayao.
La philosophie de Sack repose sur l'idée que le graffiti est un art complètement libre, car il n'y a aucune règle technique. Comment ne pas aimer un graffeur qui à pour seul devise cette idée selon laquelle dans le graff il n'y a pas des limites?
Danielle MORAES LEGRAS